Breaking News

Affaire Sextape : mêlée à tord ou à raison, le parti de la sénatrice Carole Agito parle d'un chantage contre sa présidente

Affaire Sextape : mêlée à tord ou à raison, le parti de la sénatrice Carole Agito parle d'un chantage contre sa présidente
La sénatrice Carole Agito
La sénatrice Carole Agito
Société/
Par Chris Kaluseviko

«Madame Carole Agito Amela n'est associée ni de près ou de loin à une quelconque entreprise criminelle de dépravation des mœurs», a ainsi réagi le parti politique Agir Pour le Congo (AGPC), aux publications qui circulent sur la toile, selon lesquelles, certaines personnes détiendraient les images compromettantes de sa présidente.

Dans son communiqué publié samedi 22 juillet, l'AGPC parle d'un chantage contre sa présidente et dénonce harcèlement intempestif dont Carole Agito est victime depuis trois semaines de la part des numéros anonymes «se faisant passer pour des journalistes» pour lui soutirer de sou.

«En désespoir de cause, ces harceleurs anonymes menacent désormais de rependre sur la place publique des soit-disant vidéos compromettantes de la présidente du parti», affirme l'AGPC.

Pour contribuer au démantèlement du fameux réseau déniché, le parti de l'ancienne directrice générale de la Société Nationale d'Assurance (SONAS) annonce avoir saisi la justice congolaise en vertu des articles 74,75 et 150 du code pénal congolais livre II et du code du numérique. Ceci dit-il, «pour préserver la dignité des femmes engagées politiquement».

En RDC, les images compromettantes des autorités sont devenues monnaie courante. Les dernières en date, sont celles de Fortunat Biselele, l'ancien conseiller privé du chef de l'État.


Politique

Economie

Société

Sport

Afrique

Monde

Blog